Cela fait pas mal de temps que l’envie de parler d’albums de jeunesse, sur mon blog, me démange. J’adore les albums de jeunesse. C’est une véritable passion chez moi. Peter Pan sort de ce corps!
De par mon ancien travail, j’en ai une très belle et imposante collection! J’en ai tellement que j’ai été obligée de les ranger dans des caisses dans ma cave!
Mais depuis qu’ils sont dans le noir de cette cave (les pauvres!), ils me manquent.
Si bien que lorsque j’ai décidé d’aménager un coin Loisirs créatifs dans la maison (comme je le disais ici), je leur ai laissé une petite place. Et j’ai décidé de les mettre à l’honneur sur mon blog!
C’est comme cela que je les ai sauvés de la noirceur de la cave et que je peux, donc, aujourd’hui vous parler de l’album de jeunesse suivant :
- Guili lapin, un conte moral de Mo Willems.
C’est une petite fille, Trixie , qui accompagne son papa, avec son doudou, nommé Guilli Lapin, à la laverie.
Le papa met la machine en route et repart avec sa fille à la maison, le temps que le linge se lave. Sauf que malheur, Trixie se rend compte qu’elle a oublié doudou!
Trixie , qui est encore trop petite pour parler, essaie tant bien que mal d’expliquer à son papa que Guili Lapin est resté avec le linge. Mais papa ne comprend rien et même s’impatiente…
Ce que j’aime dans ce livre :
– Les illustrations : les personnages sont des dessins et tous les décors sont des photos en noir et blanc.
– L’humour du livre : c’est de la franche rigolade rien qu’à regarder les images.
– Qu’il s’adresse aux enfants autant qu’aux parents : n’importe quel parent peut se reconnaître dans l’impatience du père qui commence à penser que sa fille est en train de lui faire un gros caprice.
Et bonne nouvelle, ce livre a une suite : “L’autre Guilli Lapin”.
Je ne l’ai pas encore acheté mais je pense que cela ne serait tardé!!
Mo Willems a écrit aussi d’autres livres pour enfant qu’on peut découvrir sur son très beau site, tout mignon et coloré! Je vous ai fait une capture d’écran pour aller le visiter (je suis gentille, hein?)
Je ne connaissais pas cet auteur, avant d’acheter “guili lapin”. Mais rien qu’à sa biographie, on comprend qu’il entend bien le langage des petits “nenfants”!